Il fut un temps où Denis Robert, petit vigneron ardéchois, ne lésinait pas sur les produits chimiques pour traiter ses vignes. Ça lui semblait un passage obligé. Logique : on ne lui avait jamais dit ou enseigné qu’il était possible de faire autrement. Jusqu’au jour où il a soudain changé son fusil d’épaule, passant de l’arsenic au bio. Entretien.
Cet entretien a été publié dans le numéro 14 de la version papier d’Article11
*
Denis Robert n’a rien du gauchiste forcené. Ni hippie ni militant pur et dur, (...)