Vingt ans qu’il chante l’ordre et la sécurité dans les colonnes du Figaro. Qu’il use et abuse des mêmes ficelles pour glorifier le travail de la police. Christophe Cornevin en mériterait presque une médaille, pour services rendus aux uniformes. Pas de breloque sous la main ? Offrons-lui un article.
Cet article a été publié dans le numéro 17 de la version papier d’Article11.
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« Dieu sait que mon âme est exempte de férocité et je crois avoir au plus haut point conscience de devoir me justifier devant (...)