Joyeux, je suis.
Heureux.
Et même carrément enthousiaste.
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Pour être honnête, j’ai connu ces derniers jours un joli quota de sueurs froides, de grands cris de douleur poussé dans la nuit noire, de pleurs de désespoir, de résolutions d’abandonner cette saloperie d’internet pour me convertir au jardinage - là, au moins, quand on plante tout, ça donne quelque chose… - et d’exhortations à Marx le conjurant de ne pas m’abandonner.
Mais c’est du passé.
Et tout semble être rentré dans l’ordre, le site (...)