« Le truc, c’est qu’on pense faire un canard qui n’est pas trop mal - enfin, on le voit comme ça. Et que ça a un côté désolant de constater, bon an mal an (ou bon numéro mal numéro), que nous plafonnons au mieux à 6 000 exemplaires. Ce n’est pas une question de pognon, mais plutôt d’intérêt suscité. Au fond, la vraie question est celle-ci : pourquoi n’y a t-il pas plus de gens qui s’intéressent à notre journal ? Pourquoi n’arrivons-nous pas à toucher davantage de gens ? A un moment, cela aussi fait partie de la fatigue, du malaise. »
Faut prendre la question plus largement aussi comme un symptôme de l’état (...)