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Summertime mon cul

vendredi 23 juillet 2010 à 20h33, par Lémi

Où l’objectivité musicale déserte devant la canicule et un job d’été pourri. Où - perdu à la réception d’un hôtel sans âme - on vilipende ceux qui osent célébrer l’été gazouillant. Où « Summertime », une des ritournelles les plus ânonnées de l’histoire musicale se voit roulée dans la fange, renvoyée chez sa maman. Et où la conclusion est (presque) catégorique : on ne la pleurera pas. 1/ Summerophobie urbaine L’été, c’est pourri. Surtout à Paris. Les rues fondent et se brouillent dans la fournaise tandis que les (...)


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