Tu ne crois pas si bien dire. Dans un ouvrage apologétique consacré à Renzo Piano, l’ancien maire d’Amiens, Gilles de Robien, alors ministre de l’Équipement et des Transports dans le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin, et celui de Lyon, le SS (socialiste sécuritaire) Gérald Collomb, tressaient des lauriers à cette star italienne de l’architecture internationale, ex-militant gauchiste proche de « Lotta continua » quand il était encore étudiant. Selon eux, il aurait su contribuer à « rendre la ville heureuse ». (...)