samedi 10 septembre 2011 à 17h36, par un-e anonyme
Il eut été bien plus nécessaire, pense-je modestement, de montrer les aspects revendicatifs de leurs chansons (plus qu’un vague désir béat de liberté et de paix dans Hard Rock magazine), la reprise de celles ci dans des manifestations, dans les consciences ou dans des écrits, l’engagement politique des artistes luttant pour des changements sociaux plutôt que la thèse capillotractée que l’oriental metal a contribué au fameux « printemps arabe ».
Le rock a toujours été la musique de fond de pas mal de révoltes, il suffit pour cela de relire Guitar Army de John Sinclair qui fut un temps, le manager d’un (...)