La chute du socialisme réel, c’est la destitution d’une classe dirigeante, mais l’allure qu’y prend l’émancipation est insoutenable. Cet événement, cette crise n’est pas le fait d’un mouvement réel qui abolit l’état présent des choses mais bien plutôt un mouvement réel où se renforce le mode d’existence capitaliste. Dire que ’l’utra-gauche’ ou l’anarchie n’en est pas affaiblie c’est admettre que ces courants ne sont plus que des identités refuges (des refuges, s’agit pas d’en contester le besoin, mais d’en découvrir l’éventuelle utilité politique...) d’une révolte qui ne saurait que s’épuiser faute d’être en (...)