On a failli la rater, enfouie qu’elle était au milieu d’un monceau de lettres d’abonnement : une missive timbrée au-delà, en provenance directe du grand nulle part. Cette fois, c’est Blaise Pascal - lequel s’emmerde profondément - qui a pris la plume pour discourir des (semblants de) soubresauts de notre vie politique. On a un peu hésité, mais on publie finalement sa lettre.
Memoria hospitis unius diei praetereuntis. Enfin... je crois. Je ne suis plus sûr de rien depuis mon trépas. Un grand vide, (...)