Pour connaître des gens dans les basses castes de l’édition, le mythe était déjà brisé pour moi, mais pour la plupart, ils continuent de croire à la littérature, pour la simple raison qu’aller se faire exploiter ailleurs les enchante beaucoup moins, mais vu leur position (stagiaires, pour la plupart), la syndicalisation est pas l’ordre du jour, si tant est qu’ils peuvent trouver un responsable syndical sans se faire mal voir (ou même le trouver tout court), avant même de parler de cotiser... Bref, pas la gloire...
Sinon, je connais une éditrice bi-média (en ligne et sur papier) qui a ouvert sa maison (...)