mercredi 14 juillet 2010 à 17h43, par Un passant...
Pour en rajouter un peu à la remarque précédente...
De Groucho Karl :MAIS alors, pourquoi de pseudo mises en pages si laides et si lourdes, typo moche, trop grasse corps trop importants, souvent manque de blanc, etc. ? J’abonde : je viens de télécharger la préface à la Fabrique scolaire de l’histoire et c’est... triste. Typographie très moche, empagement contresensique, défaite totale de la forme, aucune pensée de la beauté ni de la lisibilité, négation de l’histoire du livre et de l’acte de lecture, « mépris » (le mot est trop fort, bien sûr) du lecteur comme de l’auteur. C’est bien dommage, pour un (...)