« Qu’a-t-il manqué ? On ne peut pas se débarasser d’une telle interrogation en renvoyant aux ambiguités des uns et des autres, de Jaurés ou des syndicalistes révolutionnaires. »
Eléments de réponse piochés chez Monatte (La lutte syndicale, Maspero)
« La CGT se trouvait prise dans les remous de la loi de trois ans. Une conférence des bourses et fédérations, tenue le 15 juillet 1913, s’était refusée à décider une grève générale pour le 24 septembre, au cas où la classe 1910 serait maintenue dans les casernes. Qu’avait-elle fait là ? Rien moins que lâché pied en pleine situation révolutionnaire. C’est ce que lui (...)