Oui, c’est très difficile de commenter ce texte. Et pourtant, quand on le lit, tout s’y précipite. Je l’ai lu, relu, et laissé sédimenter en allant tout à fait ailleurs.
Ce qui m’atteint le plus profondément et qui ne veut pas en démordre, c’est l’attention très acérée portée à la hiérarchie combinée (en tous sens) des corps, des espaces, des gestes, des temps, de la disposition des meubles (« le parquet est sur le siège »), jusqu’à la hiérarchie de l’intonation des voix. Je n’ajoute pas « de la parole », car tout est déjà décidé en deçà, avant même qu’elle soit prêtée, donnée, cédée, interdite, concédée, prise, (...)