Pour ne rien te cacher je ne suis pas vraiment « pop ».
Mais ce clip est simplement renversant ...de par l’espace « antagoniste », cette distance, laissé entre la musique, les paroles et les images ...
Comment dire, ça m’interpèle encore plus et c’est là que la « magie » opère.
Avec les peintures de Marcel Dzama, j’ai brusquement pensé à Goya et « Les désastres de la guerre ».
Ce dernier a d’ailleurs eu, en plus, le bon goût de munir nos danseuses à cagoules rouges ( échappées de Rebel Waltz ?) de kalash.
Merci pour cette nouvelle (...)