vendredi 25 février 2011 à 23h57, par pièce détachée
Plusieurs camps à la fois, oui bien sûr, et partout. Ça se voit peut-être plus à la campagne qu’ailleurs, surtout quand elle est sinistrée : cernée de vide, chaque fondrière mortelle te tord le cerveau. Quand même, ça résiste, ici par exemple, et tout près sous d’autres formes. C’est pas gagné : les armes à feu sont partout, et le cas échéant elles se justifieraient facilement (vrais ou faux maquis en 43) de tirer sur tout ce qui bouge pas bien.
Morvan Lebesque ? Je viens d’« acheter » (0,20 €) dans une brocante moisie ses Chroniques du Canard enchaîné, 1952-1970, publiées À l’enseigne de l’arbre verdoyant (...)