Ben moi, toute benoîte, je suis contente. Pour les tunisiens, pour les jeunes qui voient en grand un exemple de : « quand c’est qu’on s’bouge, ça change ».
Gros gros soupir triste à l’égard des morts qui ne verront pas la suite.
La suite, je la leur souhaite aux petits oignons. Peut-être que oui, ça va foirer, on verra bien mais ils et elles auront bougé et viré le chef suprême, c’est déjà pas mal, non ? Ami(e)s d’en face, vous tenez le bon bout !
Par contre, nous, on est mal avec notre nationalité qui nous colle aux basques comme une Alliot-marie qui morpionne, (...)