Outre le coût du papier, l’aggravation de la situation pour tous les titres alternatifs semble due aux conditions de plus en plus drastiques imposées par les distributeurs. Est-il envisageable de s’en affranchir, en créant une troisième messagerie de presse ? Si c’était possible (légalement je veux dire, sans parler de la faisabilité dont je me doute que c’est un gros morceau), on peut rêver, surtout si ce nouveau distributeur était plus « reglo » avec les kiosquiers, que la presse alternative soit enfin plus ou au moins aussi visible que les torche-cul habituels. D’autre part, toujours pour rester sur (...)