Hé hé, le Sot, j’attendais ta réaction, vu que je connais, depuis « les Abeilles », ta défiance vis-à-vis des radios libres ;) (soit dit en passant, j’ai récupéré, depuis, un vieil exemplaire de Burroughs chez un bouquiniste de l’autre bout de la planète...)
Que le terme de « radios libres » en agace plus d’un, c’est un fait - on le revendique parce qu’on ne veut pas oublier l’histoire des radios pirates, et l’explosion incroyable que ça a été - après 1981, la légalisation, les subventions qui sont allées avec, un autre ton a commencé à s’installer. L’idée, ce n’est pas de faire appel à un passé héroïque, mais (...)