Eheh…
Tu ne peux pas le voir, mais je souris franchement et gaillardement. Pour un peu, je sautillerais même comme un abruti.
Que je te dise : ça fait un bail qu’on lit tes commentaires avec une admiration résolue, Lémi et moi (et on n’est pas les seuls). Qu’on se dit que ce serait génial de te voir participer. Et qu’on guette les commentaires, en espérant voir apparaître ton adresse mail. Et là, paf : on l’a ! Le bonheur. (sérieusement, en plus)
Bref, tu n’es pas dans la merde…
Là, je n’ai pas le temps de m’étendre. Mais je te promets que tu vas largement regretter de nous avoir abandonné cette (...)