@ LANCIEN : en fait, ce n’est pas de partage des bénéfices dont il ne faut plus rêver. Mais de baser celui-ci sur une croissance mortifère pour notre environnement et nos modes de vie.
@ kaos : tu l’as beaucoup mieux expliqué que moi, merci bien.
« déduisons qu’il faut leur piquer les parts qu’ils mettent de côté, pour les mêmes raisons. »
Exactement !