ARTICLE11
 
 

mardi 15 juillet 2014

Vers le papier ?

posté à 19h45, par Article11
27 commentaires

Pour A11, composez le 17

On a une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne, c’est que le numéro 17 d’Article11 est imprimé, tout frais tout beau et disponible en kiosques. Et la mauvaise ? Il se murmure (voire se hurle) en régie que notre version papier ne fera plus long feu. Comme c’est l’été, on sait bien que tu vas davantage te focaliser sur la bonne. Et tu auras bien raison.

C’est Auguste, affable gardien de phare du Morbihan, qui a donné l’alerte. Digérant sa quotidienne bouteille de calva dans sa cuisine donnant sur la mer déchaînée, il a soudain aperçu une forme fantomatique et massive perçant le brouillard, toutes sirènes hurlantes. Un navire en perdition, dangereusement proche des côtes et de leurs pièges de rochers. Bloody hell ! D’un bond, il a sauté sur son téléphone.

Dix secondes plus tard, il était en ligne avec le bureau des garde-côtes. Mais, surprise : une fois le nom du rafiot connu, ceux-ci ont refusé d’intervenir. Non, le destroyer Article11, immatriculé aux Îles Caïmans, n’allait pas être secouru. Ni ce soir ni demain. Jamais, même. La raison ? Ces marins d’eau douce refusent toute ingérence extérieure, a expliqué l’interlocuteur d’Auguste. Ils préfèrent tout faire eux-mêmes, quitte à lourdement en pâtir.

« Vous allez les laisser s’écrabouiller sur les rochers sans rien faire ? », s’est écrié le brave gardien de phare.

« Tout juste, Auguste. Mais je te parie mon béret à pompon que ces nuisibles ne vont pas couler fissa. »

« Et pourquoi ça ? »

« T’as pas lu la dernière entrée de leur journal de bord ? Ils annoncent qu’ils n’arrêteront pas avant deux numéros. En janvier prochain. Après ça : seppuku ! Ou plutôt : Titanic ! Mais avant, ces rascals vont s’accrocher, tu peux me croire. »

« Ah ? J’imagine que tout est en règle, alors. »

Un peu triste, Auguste a raccroché. Sirotant son dix-septième calva de la soirée, il a regardé aux jumelles le navire danser sur le flots. En sursis. Vers minuit, il a vu que l’équipage larguait quelques caisses en pleine mer. Un peu bourré, il n’a pas voulu en savoir plus, préférant aller s’enfouir dans les draps. Les scènes de drame, très peu pour lui.

Au matin, promenant son labrador Sémaphore, il est tombé sur une de ces caisses, échouée sur la plage. Il l’a ouverte. À l’intérieur, des centaines et des centaines d’Article11, en rangs d’oignon. Il en a saisi un. A rapproché ses yeux bigleux. Et bim, le choc :

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Bon, comme Auguste, on suppose que certains seront un peu tristes de voir la flottille A11 opter pour le sabordage. Mais c’est comme ça. Pesé, mûri et réfléchi. Vous pouvez d’ailleurs en savoir plus sur la question en allant consulter l’édito dudit numéro 17, qu’on vient de mettre en ligne ICI.

Mais qu’on se le dise : il n’est pas question de macérer dans un jus maussade et défaitiste. D’ailleurs, ce numéro 17 nous botte bien. Et on espère que vous l’engloutirez avec appétit, sans tristesse malvenue. Un canard affichant en couverture un chat noir urinant sur un pavillon de banlieue mérite mieux que des soupirs de déception...

Le programme des réjouissances ? Le voici tel que formulé dans notre sommaire biscornu :

Dans ce dix-septième numéro à l’esthétique pavillonnaire assumée, on découvrira qu’il y a une fin à tout (p. 2), on fera connaissance avec le Monsieur Police du Figaro (p. 5), on écoutera Patrick Coupechoux dénoncer l’inhumanité gangrenant la psychiatrie (p. 9), on découvrira les affres de la « gouvernementalité algorithmique » avec Antoinette Rouvroy (p. 13), on engloutira une longue et noire nouvelle signée Josu Arteaga (p. 16), on remontera le temps en compagnie de Gillian Weiss pour naviguer avec les corsaires méditerranéens (p. 23), on poursuivra le périple sur l’eau, via les paroles d’un batelier du canal du Midi (p. 26), on fustigera les classes moyennes avec Jean-Luc Debry (p. 31), on infiltrera l’arrière-décor peu ragoûtant d’une émission télévisée crétine (p. 34), on parlera arumbaya ou yucatèque avec Jean-Pierre Minaudier (p. 36) ; et on engloutira de savoureuses chroniques de société, de piquants aperçus historiques et de ragoûtantes envolées littéraires, le tout ponctué de délicieuses illustrations pimentées par les miracles de la quadrichromie – puis on enfourchera notre Harley pour s’en aller contaminer de notre spleen vrombissant des contrées encore inconnues de l’homme.

*

Réjouissances

Vendredi prochain, le 18 juillet, on sera présents au Bon Accueil (64 rue Alexandre Dumas, Paris 11) à partir de 19 h. On me murmure dans l’oreillette qu’on trinquera à la gloire de l’été. Ce serait dommage de ne pas venir.

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*

Rubrique « Vers le papier » / dans les épisodes précédents :

Entretiens avec la « concurrence »
Premier épisode : Le Tigre, à lire ici.
Deuxième épisode : Revue Z, à lire ici.
Troisième épisode : Le Postillon, à lire ici.
Quatrième épisode : CQFD, à lire ici.
Cinquième épisode : Le Jouet Enragé, à lire ici.
Sixième épisode : La Brique, à lire ici.

_ Septième épisode : Offensive, à lire ici.
Huitième épisode : Entretien avec Steven Jezo-Vannier : « Les années 1970, âge d’or de la presse parallèle ? », à lire ici.
Neuvième épisode : « La « fragile proposition » du Napoli Monitor », à lire ici.

Dixième épisode : « Entretien avec Maxime Jourdan : La presse sous La Commune ». A lire ici.
Onzième épisode : Entretien avec Alvar, de Diagonal : « On garde le même ennemi, mais on l’attaque autrement ». A lire ici.
Douzième épisode : Débat : « l’enquête sociale dans la presse alternative ».

Made in Article11
Numéro 16 – linceul pour une Twingo
Numéro 15 – Article11 Vs. Le Minotaure
Version papier - C’est reparti comme en (numéro) 14 !
Impressions d’Automne : ça va swinguer dans les kiosques !
Numéro 13 : Sea, Sex & Mort-vivants
Numéro 12 : Article11 lamine Hercule
Numéro 11 : le retour de la momie
Appelez-nous Félix
Version papier : la fin des haricots ?
Numéro 10 : 11 fragments piochés arbitrairement
Numéro 9 : Sous les pavés, les urnes.
Numéro 8 : Le retour du chevalier noir (et rose).
Numéro 007 : Meurs un autre jour.
Article11.info : et la lumière fut.

Numéro 6 : Dans la jungle, terrible jungle
Numéro 5 : La revanche du malabar fluo
Numéro 4 : l’agent Orange en force !
Numéro 3 : l’Empire A.11 contre-attaque
Numéro 2 : back dans les bacs
Veni Vidi Imprimi
Abonnement Article11 - We need you !!!
Dernier inventaire avant liquidation.
Pause estivale : hiberner pour mieux gronder
Article11 papier : Une histoire de gros sous.
Une ligne éditoriale ? Peuh...

Vers le papier ? Chroniques de presse, pas pressées (vol. 1)
Vers le papier : sexe, presse and rock & roll !

Divers

Alerte rouge (voire noire) : CQFD n’a plus un rond ! Et il n’est pas le seul...
Tempête dans un verre d’eau : Cassandre nous écrit.
« Un plan Marshall pour La Brique »


COMMENTAIRES

 


  • mercredi 16 juillet 2014 à 12h23, par Marie

    Alors ça y est... vous allez baisser pavillon...

    Je vous lis depuis le numéro 1, et depuis je ne vous ai plus lâchés, jusqu’à m’abonner.

    Tristesse de voir votre journal papier va s’arrêter, et d’autres avant vous se sont retrouvés comme vous obliger de cesser de paraître.
    Comme par exemple : « A contre courant syndical et social » un journal qui existait pourtant depuis plus de 20 ans.

    Bravo à toute votre équipe pour toutes ces années en votre compagnie !!
    C’était un rendez-vous que je ne manquais pas, et qui me réjouissait.

    Merci à vous tous et toutes !!

    P.S. : Et bien sûr, à vendredi soir, au Bon Accueil à Paris 11e.

    • mercredi 23 juillet 2014 à 23h48, par Lémi

      Je vous lis depuis le numéro 1 : voilà qui force le respect. Et le sourire. Si on était le Nouvel Obs on proposerait une montre chromée en cadeau. Comme on est A11, on n’a que quelques salutations sincères à offrir. But the heart y est.



  • mercredi 16 juillet 2014 à 17h22, par greg

    Flûte alors, et dire que je venais ce matin d’ouvrir ma boîte... une future côtisation MSA à prix exhorbitant qui ne m’a même pas fait mal (pourtant les vaches sont maigres)... pourquoi ??? Je vous le donne en mille : parce qu’il y avait avec toutes ces nouvelles de merde, un petit canard sous cellophane... de quoi me requinquer pour des semaines entières, enfin presque car il est vrai que j’ai plutôt pour habitude de m’en délecter rapidement. Comment je vais faire maintenant, m’enfin bon je vous souhaite d’ors et déjà de belles aventures prochaines et m’en vais retourner à mon désherbage. La bise

    • jeudi 17 juillet 2014 à 16h19, par Isatis

      Zutre… pareil pour moi MSA d’abord :/ et… le cellophane :-))
      Ce chat noir qui pisse comme chien sur la daube d’arrière-plan et hop… ça va tout de suite mieux ^^
      C’est fini dans six mois… ben tant pis, tout passe. En attendant la fin faut se régaler de tout ce qui tombe de bon dans la cervelle, philosophie isatesque de base.
      Bon, m’en vais lire mon canard au frais moi :-)

      • mercredi 23 juillet 2014 à 23h51, par Lémi

        @ Greg

        tant qu’il reste le désherbage, tout n’est pas perdu. Pour la cotisation MSA à prix exorbitant, on propose notre réponse type aux malfaisants : rentre chez ta mère, elle fait des gaufres. Simple, mais efficace.

        @ Isatis

        a lectrice d’élite, philosophie d’élite...



  • mercredi 16 juillet 2014 à 18h14, par wuwei

    Putain, chiotte, merde, tudieu, diantre, fichtre,...et tant d’autres jurons pour exprimer ma tristesse ! En tout cas merci à tous et à toutes pour nous avoir fait passer un peu d’air frais entre les esgourdes durant toutes ces années.

    Santé et rosé à volonté camarades car on vous aime !

    • mercredi 23 juillet 2014 à 23h54, par Lémi

      Je rajouterais volontiers : morbleu, sa mère le flamand rosse et enfoiré de gnou galeux. Pour le reste : merci à toi, fidèle from the first heure. Et pour l’air entre les esgourdes, on ne s’avoue pas battus.



  • jeudi 17 juillet 2014 à 09h19, par sage de la montagne

    Qui sait où nous serons, au delà du mois de janvier 2015 ? A11 le sait : à ce moment là le numéro 18 sera dans les kiosques. D’ici là de l’eau et du rosé auront coulé respectivement sous les ponts et dans les bars.

    • jeudi 24 juillet 2014 à 00h00, par Lémi

      Quand sonnera le mois de janvier 2015, je serais personnellement à Zanzibar, en attente d’un pédalo pour La Paz.
      Sauf si les flots de rosé se mettent en travers de ma route... Auquel cas, et si mes compères et compèrines souffrent de la même mésaventures, nous resterons en kiosques ad vitam eternamusche.



  • jeudi 17 juillet 2014 à 18h33, par Karib

    Certains journaux, c’est comme les gens qu’on aime : on croit qu’ils sont éternels, qu’ils seront toujours là à nous réchauffer le coeur et l’esprit, et puis un jour, patatras ! Ils disparaissent.

    Bon, le site continue, c’est une bonne chose, c’est d’ailleurs par là que tout avait commencé, mais enfin on regrettera le papier entre les doigts, la mise en page malcommode, l’exemplaire qu’on donne à quelqu’un de rencontre ou à l’ami malheureux qui, non, ne connaît pas Article XI.
    Et tant que j’y suis, merci aux frangins, à toi JBB pour le portrait du fringant amateur de chiourme et de flicaille, le pisse-copie du Figaro, et à toi, Lémi, pour l’interview de Patrick Coupechoux, qui nous rappelle heureusement qu’en chacun de nous il y a du fou, du délirant, même s’il est tapi tout au fond, silencieux. Et que c’est en accueillant aussi bien le fou qu’on croise dans la vie que celui qu’on porte en nous qu’on arrivera peut-être un jour à rendre ce monde un peu plus vivable.
    En attendant, on peut se rendre sur le site du Collectif des 39 contre la Nuit sécuritaire, qui rassemble des soignants, des patients et leurs familles et où l’on trouvera toutes sortes de beaux textes et de réflexions sur l’accueil, l’hospitalité : http://www.collectifpsychiatrie.fr/

    • jeudi 24 juillet 2014 à 00h06, par Lémi

      Hey,
      Merci pour ton message et pour le reste. Concernant l’accueil du fou, il se murmure que peut être dans le prochain numéro, si tout se passe bien, il y aura une suite à la réflexion depuis un bail engrangée.
      Et si on s’arrête, en tout cas, c’est pas pour se croiser les bras. Enfin on espère...



  • dimanche 20 juillet 2014 à 20h01, par Le sot

    Vous en avez rêvé, vous l’avez fait, bravo à vous !
    Tout à une suite...

    • jeudi 24 juillet 2014 à 00h11, par Lémi

      Comme disait un germain quelconque dans Astérix le gaulois : Mais addentzion ! On refiendra !



  • jeudi 24 juillet 2014 à 20h00, par Bison Ravi

    Fichtre, encore 2 numéros et c’est terminé ???!!!

    Mais c’est terrible...

    Enfin, ça fera quand même 19 numéros à ce moment là, tous plus bons les uns que les z’autres (à moins d’un sabordage sur la fin), qu’on aura plaisir à relire, échanger, donner...

    Par contre, les z’articles sur interbête, c’est vraiment pas mon truc... Dommage, mais j’ai vraiment horreur de lire sur un écran (je fais un sacré effort pour laisser un message =p)

    Je m’en vais donc continuer à délecter de ce 17e numéro (très chouette interview du linguiste Jean-Pierre Minaudier d’ailleurs, fameux) !

    Bonne continuation, et merci pour votre superbe boulot !



  • vendredi 25 juillet 2014 à 11h32, par john stuart Marx

    Vous auriez pu attendre que je m’abonne !



  • samedi 26 juillet 2014 à 13h11, par Soisic

    Et bien, ayant commencé avec la lecture du site, je continuerai de même après la parenthèse enchantée du papier ! :-)
    Le côté positif est que vous aurez plus de temps pour l’animer, vu que vous n’aurez plus le « rush » du journal papier !
    Bon été à vous et au plaisir de vous lire sur le net !

    • dimanche 27 juillet 2014 à 21h37, par un-e anonyme

      Lire sur le net ? Site animé ? Mal à la caboche d’avance



  • samedi 2 août 2014 à 22h01, par george profonde

    puisqu’on en est à se congratuler, notons qu’à titre personnel, moi, je, j’ai pris le pli de filer une fois lus tous les canards que j’achète en kiosque à mon petit-retraité de voisin : pensez, un anarchiste râleur et cultivé, mais retraité de la police, on n’a pas tous les jours cette chance.
     × 
    il kiffe cqfd, aime fakir, trouve le tigre plaisant, etc.
     × 
    mais il ne connait pas A11 : je les garde*.
     × 
    tous.
     × 
    depuis le début.
     × 
    ...
     × 
    désolé.
     × 
    mais pour me faire pardonner, je bois un verre de blanc à 50cts à mon rade du coin à votre santé dès demain, promis.
     × 
    longue et tortueuse route à vous,
     × 
    et merci.
     × 
    (* offensive pareil, mais là n’est pas le sujet, ils ont déjà clôt)



  • jeudi 14 août 2014 à 13h06, par Simon

    Merci à toute l’équipe d’Article 11 pour ce vent d’air frais que vous nous avez apporté durant toutes ces années. Qu’est ce que ça fait du bien de lire chacun de vos articles en se disant que putain, c’est drôle, instructif et que ça parle.

    Et en plus, ça fait un bel objet nom de diou ! J’exhibais non sans fierté cette mise en page décalément sérieuse, qui contribue à entrer dans un autre monde lors de la lecture. Le monde de la recherche de la justesse et de tous les possibles. Punaise, je pourrais faire porte parole au PS.

    En attendant, je vais joyeusement payer mes deux prochains numéros (j’y ai réfléchi, et vous demander de me les envoyer gratos comme vous le proposiez, ça me fait mal au coeur. Déformation capitaliste peut être.)

    Si qu’est-ce que vous dites c’est vrai, j’ai hate de voir sous quelle forme vous allez vous exprimer par la suite.



  • vendredi 15 août 2014 à 21h28, par sacha

    Oh ben merdre alors !
    Vivement la prochaine aventure !
    Salute !



  • samedi 23 août 2014 à 14h10, par Claire

    Hey ! Quand j’ai découvert la version papier d’article 11 et que je l’ai ouverte, je suis tombée amoureuse, ça a prit 30 secondes environ..
    J’ai eu envie de m’abonner direct, c’était la première fois que ça m’arrivait :-)
    Et maintenant, le papier, c’est fini, mais j’me dis que ça peut encore changer, héhé...
    Sinon, voilà, tant que vous rester sur le net, c’est cool. Vous êtes vraiment important pour moi, vous me réconciliez un peu avec la Presse :-)

    Gros bisou,

    Claire



  • mardi 9 septembre 2014 à 11h50, par albert

    ont dirait qu’un mouvement populaire internationaliste se constitue contre l’arrêt d’A11. Avant la séquestration des rédacteurs du canard c’est le mode d’action ultra violent de la pétition qui a été choisi... http://www.petitions24.net/contre_l...



  • samedi 13 septembre 2014 à 18h54, par alienations

    hey les potos, vous revenez quand de vacances ?



  • samedi 13 septembre 2014 à 23h52, par Jack

    On vous aime Article 11 !
    N’arrêtez jamais.
    Rien ne se perd, [tout] se crée, tout se transforme !



  • samedi 11 octobre 2014 à 02h51, par H2

    ah Merde ! Déjà fini ?

    Maintenant que vous avez eu la peau de l’émission
    « Là-bas si j’y suis » et de Daniel Mermet, vous allez mettre la clé sous la porte, ha, merde c’est con ça.

    Depuis que la radio ne portera plus une voix discordante et revigorante et que le Medef doit être bien content, voilà que les kiosques ne vont plus porter votre voix non plus ?

    Que d’injustices Diantre !

    Pour un lynché, deux tués en quelque sorte.

    C’est bien con pour nous tous, à vrai dire.



  • jeudi 16 octobre 2014 à 15h02, par JPC

    Cà c’est pas sympa pour le jean bapt, le fidèle cornac, la perle des gens de maison...ben ouais...plus de numérique çà veut plus de boulot de censure...euh de modération...

    cela dit ce travail domestique ingrat confine parfois à l’oeuvre d’art lorsqu’il s’agit de nettoyer les commentaires plusieurs semaines ou mois plus tard pour refabriquer un article et des commentaires bien proprets et bien dans la ligne stalinienne en vigeur...

    allez jean bapt’ efface !



  • mercredi 25 mai 2016 à 14h29, par Leanora

    Cet aticle est en toute franchise génial.Bravo à à son écrivain.Je vous relirai souvent. Grisel de credit entre particulier

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